Les actions de la commune

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Plan de désherbage
Depuis 2005, le services Espaces verts n’utilise plus de pesticides (désherbant, insecticides, fongicides). Le désherbage en ville est effectué à l’aide d’un procédé thermique d’eau chaude. En 2013, la Ville s’est équipée d’une machine thermique a vapeur à faible consommation d’eau (50 litres pour 8 heures au lieu des 500 litres des anciennes générations) grâce aux subventions de la Région et de l’Agence de l’eau.
 
Lutte contre les pucerons
En juin, un lâché de coccinelles au stade larvaire (une centaine par arbre) sur les tilleuls de la place Dinan permet de limiter la population de pucerons. Avantage : pas de nuisance d’utilisation et pas de fermeture du site. L’utilisation d’un produit chimique obligerait la ville à fermer le site pendant six heures.
 
Lutte contre la chenille processionnaire du pin
Piégeage des papillons de juin à juillet et des chenilles en février et traitement des jeunes chenilles en septembre par une application de champignon.
 
Paillage des massifs
Afin de diminuer l’arrosage et le désherbage. Les plantes moins gourmandes en eau sont privilégiées.
 
Lutte contre le baccharis et le cotaderia
Depuis 2009 (10 000 € / an).

Tonte
Plus haute et moins fréquente suivant les espaces. Fauche tardive des accotements et des terrains communaux afin de limiter les impacts sur la faune et la flore.
 
Pose de nichoir de refuge à insectes

Arrêt du balayage d’allées dans le parc de Penn-Avel afin de préserver les surfaces

Arrêt du ramassage des bois morts
Nécessaire au développement et à l’enrichissement de la vie microbienne des sols.
 
Mise en place d’un récupérateur d’eau à la serre

Achat de matériels électriques
Taille haie et souffleurs, débroussailleuse, véhicules, etc.

Abattage des arbres
Sur la commune, dans certains secteurs (ZPPAUP), l’abattage est soumis à autorisation de la part des services de l’Urbanisme car les arbres peuvent être classés en arbres remarquables ou encore faire partie de zones naturelles protégées pour leur qualité paysagère.
 
Charte des activités nautiques spécifiques sur le Traict
En 2012, Sous l’impulsion de l’État, dans le cadre de Natura 2000, une « charte des activités nautiques dans le Traict du Croisic » a été signée afin de sensibiliser tous les acteurs et usagers à la protection de cet espace protégé. Rédigée en concertation avec les représentants des pratiquants d’activités nautiques, cette charte vise à concilier aussi bien : le maintien de la tranquillité indispensable aux oiseaux migrateurs, notamment en hiver et sur des secteurs à forte concentration d’individus ; le respect de l’activité des conchyliculteurs, détenteurs de concessions sur le Domaine Public Maritime ; le respect du travail des paludiers exploitant les salines bordant le Traict. La charte rassemble aujourd’hui 28 signataires : institutionnels, associations, pratiquants et professionnels.
 
Covoiturage au Croisic
La Ville du Croisic a signé une convention avec le Conseil Général de Loire-Atlantique pour la mise en place d’un système de « covoiturage ». Le point de rendez-vous se situe rue Emmanuel-Provost, à « la Barrière ». Opérationnel depuis juin 2012, le « covoiturage » permet des économies en partageant le coût de déplacement, Ce service est gratuit, s'inscrire ici.

Contrat Natura 2000
Après la catastrophe de l’Érika, des travaux de réhabilitation de la Côte Sauvage ont été réalisés. Depuis 2012, grâce au contrat Natura 2000 signé avec l’État, la Ville du Croisic a renforcé la protection de son littoral. Au programme pour 5 ans : limitation du piétinement des espèces végétales rares d’intérêt européen grâce à la pose de double fils, renforcement de la sécurité du public, suppression des espèces invasives (eleagnus, baccharis, herbe de la pampa).